Un petit podium pour cette fin de saison sur Triathlon Longue Distance

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la médaille de 2ème et celle de finisher

La course en elle-même

Après une blessure (deux côtes cassées en juin), ce n’est jamais facile de se remotiver.

Pourtant, j’avais envie de revanche, d’en découdre de nouveau sur une grosse course et de retrouver mon niveau d’avant blessure...

Alors quoi de mieux que de se lancer sur un Triathlon L (mon deuxième triathlon longue distance) avec un format un peu spécial : 2000m de natation, 107km à vélo (2200m D+ avec 2 cols dans les Pyrénées) pour finir par un semi marathon (21,1km) : Triathlon de Baudreix.

« Cette fille est folle ». Oups un peu !!

L’avant course :

5h du mat’, waw ça pique ! «Mais qu’est ce que je fais encore à me lever à cette heure-ci un samedi matin ???!! Plus jamais ça ». Ces deux phrases je crois que je me les dis à chaque réveil aux aurores d’avant course, et à chaque fois je recommence ! Je dois vraiment être maso dans ma tête, ça je vous le dis !

Bref, une fois levée, je n’avais plus d’autres choix ? « bah si te recoucher ! » ! Mouais foutu pour foutu autant y aller à cette course.

J’ai pris le temps de déjeuner, de bien boire, puis direction Baudreix.

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6h00 : il faisait encore nuit, des gens qui rentraient de soirée dans la rue tandis que je démontais ma roue pour mettre mon vélo dans ma voiture (avant j’étais comme eux, haha). Tout allait bien, il faisait chaud, 13 degrés… Hum j’avais hâte d’aller nager ! Vous sentez la motivation qui commençait à monter là hein ???

6h20 : arrivée sur le parking (un champ), remontage de la roue avant de mon vélo tant bien que mal grâce à la lampe téléphone d’un monsieur (bah oui le parking est non éclairé sinon ce n’est pas drôle !).

Puis retrouvailles avec David, un copain de vélo qui faisait seulement la partie vélo du parcours en relais hommes.

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Retrait du dossard, blabla, je vous épargne les détails inutiles…

Même si le jour commençais à se lever, il faisait toujours froid, pas envie d’enlever mon sweet !!

La partie Natation :

Alors là c’est ma partie, c’est la où je suis la meilleure dans les 3 sports, je dois tout donner !!! Haha que je suis drôle.

Bon c’est évidemment ce que j’appréhendais le plus, même si en piscine je me débrouille correctement, la nage en eau libre j’ai encore énormément de progrès à faire. Ce qui est plutôt positif est que les filles partaient en premier à 8h, à 8h05 les relais et 8h10 les hommes, cela allait m’éviter de nager en grosse masse.

 

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le lac de Baudreix en entrainement

J’ai arrêté de penser, je me suis focalisée sur ma course, en me disant que tout allait bien se passer, que c’était une belle journée pour prendre du plaisir et me donner à fond !

8h : Goooo !

Le premier tour s’est relativement bien passé, j’étais dans les premières féminines, j’ai réussi à bien poser ma nage. Je sais que j’ai perdu en musculature depuis ma blessure car clairement travailler le haut du corps me faisait trop mal, donc je me doutais que je n’allais pas faire mon chrono d’Aix en Provence (39minutes) sur l’half.

La prise de direction n’était pas simple, j’ai essayé de mettre en pratique mes entrainements en sortant la tête par l’avant, de temps en temps. D’ailleurs j’apercevais le soleil se levant comme s’il sortait de l’eau, c’était magnifique (oui j’ai une passion pour les levers et couchers de soleil).

Sortie à l’Australienne et hop je replongeais dans l’eau. J’ai regardé ma montre 1000m en 21minutes, pas ouf mais plutôt dans mes temps.

La seconde boucle a été vraiment très très très (y a t-il assez de très ?) difficile ! Mon mental a été mis à rude épreuve et surtout mon intestin (si vous êtes en train de manger en me lisant je vous conseille d’arrêter votre lecture !).

Alors plusieurs difficultés :

  • j’ai commencé à avoir très mal à la tête et aux contours des yeux. En fait, j’ai tellement le flippe que l’eau rentre dans mes lunettes que je les serre à fond, du coup beaucoup trop à fond !! Et 1000m avec un mal de crâne ce n’est pas facile mentalement même si j’ai essayé au maximum de penser à des choses positives ;

 

  • une autre chose s’est greffée : un mal de bide énorme, avec des renvois de vomi etc. Mon explication est que j’ai mal digéré mon petit déj pourtant j’avais déjeuné 3h avant la course. Je sais aussi que mon point faible est mon estomac car depuis petite j’ai l’estomac très fragile, c’est pour cela qu’avant les courses, je fais attention à ce que je mange (pas de nutella haha, de légumes, fruits etc). Bon le triathlon ce n’est pas vraiment glamour : un petit vomi dans l’eau et hop ça repart ! Je n’étais toujours pas au top mais cela m’a fait du bien..

 

  • pour couronner le tout, durant les derniers 100m j’ai commencé à me faire passer dessus littéralement, les hommes me rattrapant, ce qui n’a vraiment pas arrangé mon mal de bide. Donc désolée j’ai un peu vomis entre 2-3 mecs (chut ils n’ont rien remarqué) !!

J’ai jamais été autant soulagée de sortir de l’eau. Surtout que je commençais à psychoter « si déjà j’ai des problèmes gastriques, je n’imagine pas la suite sur le vélo et la course à pied ». En sortant, je me suis ressaisie, en me disant que j’avais fait le plus difficile et que mon estomac ne ferait plus d’histoire par la suite (pensées positives !!).

Vraiment déçue de mon temps (46 minutes pour 2000m), surtout qu’au début j’étais dans les premières féminines, en sortant j’étais à l’ouest totale…

La partie vélo : 107km avec 2 cols des Pyrénées (Soulor et Aubisque)

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en aout lors de la reconnaissance du Parcours : col de L’aubisque

Ma transition vélo mérite vraiment le détour !!

Tout d’abord, j’ai pris le temps de mettre mes manchons et maillot de vélo car je savais qu’il allait faire froid dans les cols (je ne me fais plus avoir depuis Aix !!).

Sur la ligne de départ du vélo, un mec m’a percuté avec son vélo (trop occupé à regarder sa montre), mes lunettes de soleil sont tombées et se sont cassées… Un « excuse moi » était trop demandé ? La moindre des choses était quand même de les ramasser et de m’aider à les réparer... Bah non, le mec s’est cassé, en mode « je n’ai pas le temps, je suis pressé ». Alors ce type de réaction je veux bien pour un mec qui vise un podium (et encore le respect ça existe), mais franchement là il n’était pas à 2 minutes près… Bref, j’étais vraiment énervée en tendant de remettre le verre de mes lunettes, surtout que les lunettes de soleil en vélo sont indispensables pour moi qui ai les yeux méga clairs, encore plus avec les deux cols que je m’apprêtais à gravir…

Cet incident m’a donné la niaque. Ok je commençais vraiment mal entre la natation et cette transition vélo, mais je voulais encore plus en découdre et doubler ce mec !! (que j’ai dépassé en course à pied héhéhé).

Ca y est je partais pour 107km de vélo, deux cols à grimper (et pas des moindre, les deux cols mythiques des Pyrénées : Soulor et Aubisque).

Plutôt confiante car début août, pas très longtemps après ma reprise du vélo j’avais fait 85km des 107km, donc je connaissais le parcours, notamment les deux cols, et les montées c’est ce que je préfère !

Au départ, 10km de plat qui m’ont permis de me mettre en jambes, de m’hydrater et de manger (l’estomac avait l’air d’aller). Je me suis fait pas mal doubler par des mecs.

Ensuite, 15km de faux plat montant, je me sentais bien et les mecs ont arrêté de me doubler !

Quand j’ai aperçu le panneau indiquant le début de la montée du col, je savais que ça allait être long et aussi que j’allais en prendre pleins les yeux !

12km de montée pour le Soulor, avec une moyenne de 9%-10%, pas à prendre à la légère quand même.

C’est là que j’ai commencé à me sentir vraiment très bien. N’empêche, c’est fou comme cela fait du bien mentalement de faire que doubler (oui tous les mecs qui m’avaient doublée sur le plat, je les ai fumés haha, ainsi que quelques filles). Un effort d’endurance que j’ai bien géré en m’alimentant (mes petits pains à la dinde faciles à manger et testés en entrainement).

Lorsque j’avais repéré le parcours en août, il faisait une chaleur et je reprenais tout juste l’entrainement vélo. Là j’ai limite trouvé cela facile, j’avançais bien sans trop sentir mes cuisses.

«Mais tu vas vite, une vraie grimpeuse », le genre de petits commentaires qui font plaisir et qui atténuaient les autres réflexions machistes, mais je ne reviendrais pas la dessus…

Soleil en pleine face, il a bien fallu que je sorte mes lunettes cassées rafistolées à la va vite ! En fait, je ne voyais quasiment rien car elles étaient à moitié tordues et elles me gênaient plutôt qu’autre chose. Donc je ne les ai pas gardées très longtemps surtout qu’elles ont définitivement rendues l’âme (RIP petites lunettes, je vous aimais bien !), ce qui m’a permis de profiter d’un paysage juste de dingue. Je n’ai pas d’autre mot tellement c’était magnifique de se retrouver entourée de toutes ces montagnes, de regarder tout le chemin parcouru depuis le bas (le col du Soulor est à 1474m d’altitude).

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en entrainement : montée col du Soulor

Arrivée au sommet du premier col dans le froid (manchon et maillot n’étaient vraiment pas de trop), petite descente histoire de soulager les cuissots et avant d’entamer la dernière partie : le col de l’Aubisque (1709m d’altitude).

J’ai adoré un petit commentaire d’un gardien de vaches adressé à un mec qui était juste derrière moi au début du col : « bah alors il faut la doubler la petite, ou vous n’êtes pas assez fort pour le faire ??!! » haha j’ai bien rigolé tout en donnant des coups de pédales pour qu’il ne me double pas !!

Vers la fin de la montée du col, en doublant un mec et en l’encourageant, il s’est accroché et a commencé à me parler, un mec super sympa ! Je lui ai dit de ne surtout pas lâcher car l’arrivée était imminente (pratique de connaître le parcours).

Pendant quelques secondes au sommet de l’Aubisque, j’ai profité de la vue grandiose qui s’offrait à moi et je me suis rappelée pourquoi je souffrais, tout simplement pour vivre ce genre de moment de bonheur immense…

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je n’ai pas de photo de la course… mais ces quelques photos donnent un aperçu de ce que j’ai pu voir

Une longue descente…Qui dit descente, dit ?? Pause pipi hihi. Bah oui je n’allais pas perdre de temps à m’arrêter alors que j’avais perdu suffisamment de temps en natation, et me dévêtir (surtout qu’il faisait froid) ! Deuxième fois de ma vie que je faisais pipi sur mon vélo je vous rassure, et j’ai bien nettoyé mon bébé et ma trifonction depuis !

Alors ce dont je suis super contente, mais alors méga contente, c’est que j’ai doublé 2 mecs (oui oui incroyable) pendant la descente et que je ne me suis quasiment pas faite rattraper (à part par le mec trop sympa), alors que je suis méga nulle en descente !! Comme quoi j’ai dû m’améliorer en mettant en pratique tous les conseils de mes copains cyclistes avec qui je me suis entrainée dernièrement.

En bas de la longue descente, il restait un peu moins de 40km, et 40km de pur bonheur, du plat, tout ce que j’aime !! La partie que je craignais le plus en gros.

J’ai eu la chance de rattraper le mec trop sympa et son copain (ils s’attendaient mutuellement pendant tout le parcours) avec qui j’ai roulé 10km en discutant. Attention ce n’était pas en mode balade du dimanche non plus hein, on allait autour de 30km/h sur une route pas top de campagne un peu vallonnée en passant par des petits villages trop mignons.

Enfin, la dernière montée ! La première fois que je l’avais faite, je l’avais trouvé horrible, je n’avais plus de jambes, j’en avais marre et il faisait 35 degrés, donc lorsque je l’ai vu, je me suis dit «ça va être dur, tu ne lâches rien »;  Au final, je n’ai rien lâché mais j’ai lâché les deux mecs et la dernière montée est passée vraiment niquel.

Je n’allais pas les attendre alors je me suis retrouvée seule, et franchement ces 25 derniers km ont vraiment étaient loooongs… A chaque km, en plus sur du plat et vent de face, je me disais, « allez Gab, un km de moins, tu arrives bientôt, tu ne réfléchis pas, tu te couches sur tes prologateurs et tu avances ». Bon je n’étais pas complètement seule car devant moi j’avais une moto de l’organisation. De temps en temps il se mettait à côté de moi et m’encourageait en me disant que j’étais dans les premières féminines et que la fin approchait. Sympa mais peut on vraiment parler de fin (ok pour lui 7km ce n’est rien comparé aux 100km déjà accomplis), lorsque les km passent lentement et que tu as juste un semi marathon à courir derrière ? Ou alors nous n’avons pas la même notion de fin !

104 – 105 – 106 (un Monsieur m’encourage en se mettant à ma hauteur, on finit le dernier km ensemble) – 107 youhou !! Ça y est je l’ai fait ! Oui je n’avais jamais roulé autant de ma vie (mon record 105km) avec autant de dénivelé positif (2200m) et dans le temps que je voulais : 4h40. Je suis contente, j’ai géré mon effort, je me suis alimentée toutes les 30 minutes, bien hydratée. Voilà j’ai réussi à prendre le dessus sur le début chaotique de course…en remontant pas mal de places au classement.

Il me restait juste un semi en pleine chaleur…

Le Semi Marathon :

Il devait bien être 13h donc j’allais courir les 21km sous le cagnard (29 degrés), tout ce que j’aime en tant que bretonne ! Après j’étais entrainée pour car en août je courrais sous la canicule (allant jusqu’à 38-39 degrés), donc 29 c’était limite la fraicheur non ?! Donc j’étais sereine et j’ai commencé de suite par mettre en application les conseils de mon coach (« à tous les ravito tu bois et tu prends des gobelets que tu te les mets sur la tête »).

Ensuite, ce fût que du bonheur (enfin jusqu’au 17ème km) !! Mes petites jambes gambadaient tranquillement. Ce dont j’avais un peu peur est de ne plus avoir de jambes après ce que je venais de m’enquiller en vélo.

Donc j’ai couru sous la chaleur avec une bonne allure, j’ai regardé de temps en temps ma montre (4’50 4’55), j’étais même étonnée que cela se passe si bien.

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pas une photo de la course mais d’un autre triathlon

Mentalement j’étais au top. Généralement, je ne suis pas fan des boucles (là il y en avait 3 de 7km), car je trouve que pour le moral c’est difficile de voir « 3km – 10km – 17 km », car tu sais que tu vas voir 3 fois ce panneau et qu’au bout de la 3ème boucle tu en auras clairement marre du parcours que tu connais pas cœur.

Ce qui m’a aussi beaucoup aidée est d’avoir fait que doubler, je voyais un mec au loin, mon objectif était de me rapprocher progressivement puis de le doubler et ainsi de suite. Puis les encouragements, franchement, c’est génial « super, elle cavale la petite, continue ne lâche rien », j’ai même eu des « allez Gobynette »  haha. J’ai aussi beaucoup encouragé, surtout les mecs qui marchaient, car je sais que si ça avait été mon cas j’aurais aimé qu’on me boost à repartir.

A la fin de la 1ère boucle, un monsieur de l’organisation m’annonçait que j’étais 2ème et que j’avais 8′ d’écart avec la première. Assez surprise de cette annonce, car je pensais plutôt être 3-4 féminine… En tout cas, même si le gars s’était trompé, j’ai encore plus repris confiance en me donnant encore plus.

2ème tour niquel, j’avais trouvé mon rythme de croisière.

Trop drôle car un mec m’a doublé, il avait vraiment une bonne allure, on s’est encouragé mutuellement.

Puis au début du 3ème tour, donc au 14ème km, je l’ai doublé (il avait une baisse de régime) « you again » (très surpris de me retrouver à le doubler). Il a commencé à me parler… en anglais, déjà parler en français sur un semi bon ce n’est pas forcément facile, mais en anglais sérieux (je sens déjà les rires de ceux qui connaissent mon super accent) !! On a quand même blablaté, ce qui a fait passer le temps. On courait, on courait, il donnait le rythme, c’était cool.

Puis d’un coup sans que je vois le coup venir, un peu après le 17ème km j’ai eu des énormes brûlures d’estomac, une envie d’aller aux toilettes monumentale ! Est ce que j’allais pouvoir tenir encore 4km ? 4Km c’était rien, mais à la fois beaucoup dans mon cas, j’ai fait le calcul, entre 20 et 25 minutes de course ! Je ne pouvais plus du tout attendre. Pas de toilettes à l’horizon, l’horreur… Alors j’ai couru derrière un semblant de buisson… bon c’était vraiment un semblant de buisson car un Monsieur m’a repérée !! (je dis merci à mes années de randonnées pour n’avoir aucune honte vis à vis de cela). Voilà, j’ai recommencé à courir comme si de rien n’était… Après je n’étais pas très bien, il fallait que cette course se termine rapidement quand même !!

J’ai pris un gel. Je n’avais rien avalé de toute la partie course à pied, car je sentais que ça n’allait pas me faire du bien, il ne fallait pas oublier que j’avais quand même vomi dans le lac et que j’ai beaucoup de mal à m’alimenter en courant (c’est vraiment quelque chose que je dois travailler).

Voilà je voyais la ligne d’arrivée !!!!! Youpi j’allais pouvoir aller aux toilettes (je vous jure c’est la première pensée que j’ai eu haha). 7H20 de course tellement heureuse de franchir cette ligne !

Morale de l’histoire : ne plus courir en parlant anglais, cela ne me réussit pas !

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le smile après la course, devant le lac vomito et les Pyrénées au loin

D’ailleurs lorsque cet allemand super sympa a voulu qu’on fasse une photo de nous deux à l’arrivée, je lui ai répondu « okay, but I have to go now !!! ».

Une course incroyable, que j’ai adoré de A à Z (non je rigole de D à W je dirais). J’en ai pris plein les yeux, c’est le moins qu’on puisse dire, notamment les bestioles dans la descente en vélo !! Je termine la course à pied en 1h46 malgré une pause de 2 minutes, donc contente d’avoir pu tenir ce rythme sur un L et je réalise le 1er temps de nana !!

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Et la question que vous vous posez mais dont on connait presque tous la réponse, étais je réellement deuxième féminine ? Non. 2Ème oui mais dans ma catégorie sénior, et 4ème féminine. Pour mon deuxième longue distance, bien évidemment je suis très contente de cette performance, surtout que devant ce sont des femmes qui ont l’habitude du long et des podiums…

En plus de quoi picoler et bien manger ! Sympa les cadeaux de triathlon !

Ce dont je suis contente et plutôt rassurée est que je n’ai pas eu de fatigue physique, les seuls problèmes que j’ai rencontrés sont gastriques…Je n’ai pas encore l’expérience du long, plus nous en faisons, plus nous connaissons notre corps, nous savons comment le gérer. Il me reste donc à continuer à m’entrainer, et surtout essayer de pallier au mieux ces petits désagréments…

Ce que j’ai appris :

A croire en moi, tout simplement…

Maintenant ? En route pour… La Nouvelle Zélande ! A vous de deviner !!

2 réflexions sur “Un petit podium pour cette fin de saison sur Triathlon Longue Distance

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